Cinéma afghan
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Cinéma d'Asie centrale |
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Le cinéma d'Afghanistan se relève lentement après une longue période de silence. Avant les attaques du 11 septembre 2001, Mohsen Makhmalbaf a attiré l'attention sur l'Afghanistan avec son film Kandahar. Kandahar est une tentative pour rappeler au monde un pays oublié. Plus tard, Yassamin Maleknasr, Abolfazl Jalili, Samira Makhmalbaf et Siddiq Barmak ont fait des contributions significatives au cinéma persan en Afghanistan. Siddiq Barmak est aussi directeur du Mouvement pour l'Education des Enfants d'Afghanistan, une association qui promeut l'alphabétisation, la culture et les arts, fondée par le réalisateur iranien Mohsen Makhmalbaf. L'école forme des acteurs et des réalisateurs pour le cinéma émergent d'Afghanistan.
Dans Djomeh (2000), réalisé par un des assistants d'Abbas Kiarostami, Hassan Yektapanah, l'histoire se focalise sur le sort d'un des deux millions de réfugiés afghans qui sont en Iran sans statut légal. Quand l'acteur Afghan non professionnel du film fut invité au Festival du Film d'Hambourd puis refusa d'entrer de nouveau en Iran, son histoire devint un autre film, Le chemin du paradis (2002), de l'architecte-acteur-réalisateur Mahmoud Behraznia, qui vit en Allemagne.
[modifier] Voir aussi
- Cinéma iranien, article plus global sur le cinéma persan.
- Cinéma d'Asie centrale
- Cinéma asiatique