Culture de la Côte d'Ivoire

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La Côte d'Ivoire possède une culture diversifiée.

Sommaire

[modifier] L’art ivoirien

Les civilisations africaines, en particulier celle de la Côte d’Ivoire, ont toujours accordé la primauté à la fonction sur la forme. La beauté n’est jamais recherchée pour elle même. Elle est atteinte lorsqu’il existe une accord fondamental entre la pensée religieuse et l’objet chargé de l’exprimer ou de la servir (ustensiles, statues, masques, etc.). Ce que les collectionneurs appellent "l’art africain", ce sont en fait des objets usuels ou culturels qui, désacralisés ou unitilisés aujourd’hui, sont vendus comme pièces de collections.

Quatre grands groupes ethniques peuplent la Côte d’Ivoire :


  • les Voltaïques dans le Nord-Est (Sénoufo, Lobi, Koulango...)

Chacun de ces groupes témoigne de son art de vivre à travers ses réalisations.

Source www.Abidjan.net

[modifier] Le bois et le bronze

Raphia, rotin, bois et bambou permettent les vanneries, sculptures sur bois, meubles d’art... Le bronze, travaillé selon la technique ancestrale de la cire perdue, est connu presque partout en Côte d’Ivoire.

Source : www.Abidjan.net

[modifier] Les statues et masques

Article détaillé : Masques de Côte d'Ivoire

La principale différence entre statue et masque réside dans le fait que la première reste immobile pendant les cérémonies, tandis que le second participe à toutes les phases du rite puisque attaché autour du visage d’un participant, souvent un initié, dont l’incognito est préservé. La statuaire en pays Baoulé (avec le siège Baoulé du chef), et Sénoufo (représentant le premier couple) est la plus célèbre. Les masques Dan, Baoulé, Gouro, Guéré, Bété... sont les plus côtés chez les connaisseurs.

Source : www.abidjan.net

[modifier] Le tissage et peinture

Les Baoulé, les Dioula et les Sénoufo se distinguent dans l’art du tissage. Baoulé et surtout Sénoufo sont renommés pour leur peinture sur tissu. Sur des panneaux de toile écrue, l’artisan dessine des animaux symboliques, accompagnés de motifs géométriques. Les tisserands du Nord utilisent des teintures végétales comme l’indigo ou la kola. Le kaolin est utilisé pour orner le visage et le corps des participants aux cérémonies traditionnelles et religieuses.

Source www.abidjan.net

[modifier] La danse

La plus part des danses ont des significations religieuses.La région de l’Ouest est une des plus riches de Côte d’Ivoire en ce qui concerne les danses traditionnelles. Environ 300 font partie des traditions. Parmi les plus connues : le temate de Facobly (hommage des jeunes filles aux esprits favorables à une abondante récolte de riz), la danse des échassiers de Gouessesso et Danane (imagination chorégraphique et adresse gymnique de jeunes gens masqués sur des échasses de 3m de haut), la danse Gouah (geste collectif de gratitude des jeunes initiés à l’adresse des Dieux bienfaisants).


Source : www.Abidjan.net

[modifier] Les poids à peser l’or

Les ethnies du groupe Akan sont considérées comme les peuples de l’or. Leur talent s’exprime surtout dans les figurines de cuivre servant à peser l’or autrefois et utilisées aujourd’hui en éléments d’ornementation.

Chez les Agni et les Abron, chaque cérémonie donne l’occasion de se parer de bijoux, de lunettes et de colliers en or.

Source www.Abidjan.net

[modifier] La poterie

Pratiquée par toutes les ethnies et le plus souvent par des femmes, la poterie est très présente chez les Malinké. Jattes, canaris et vases sont montés à la main et cuits sur le feu. Les poteries de Katiola sont les plus renommées du pays.

Source : www.abidjan.net

[modifier] Les instruments de musique

Ils sont associés aux différentes formes de cultes. Les tam-tams, dont la base rythmique est souvent soutenue par des calebasses recouvertes de perles ou de cauris, sont les plus célèbres. Ils émettent un son grave et vibrant. Le Balafon (ou Xylophone) particulièrement utilisé dans le Nord du pays, est aussi apprécié par les Baoulé, les Dan et les Guéré.

Source www.abidjan.net

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