Culture de la Suisse
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La culture de la Suisse est marquée par la situation géographique du pays au nord des Alpes et par sa situation linguistique, la Suisse possédant quatre langues nationales (l'allemand (64%), le français (20%), l'italien (6%) et le romanche, parlé par une toute petite minorité (<1%)) et donc à l'intersection des cultures française, germanique et italienne. La culture suisse possède ainsi des racines variées et dispose d'un large rayonnement international. Le pays est également riche en coutumes locales.
Sommaire |
[modifier] Folklore et patrimoine
[modifier] Symboles patriotiques
[modifier] Hymne national
Jusqu'à la fin du 19e siècle il n'existe aucune tradition d'hymne suisse.
Le chant patriotique Ô Monts indépendants a été le premier hymne patriotique et le plus utilisé jusqu'en 1961. A partir de cette date il est en concurrence avec le Cantique suisse qui devient l'hymne national officielle de la Suisse en 1981. Le Cantique suisse est un chant composé en 1841 par Alberich Zwyssig (1808-1854) avec les paroles de Leonhard Widmer (1809-1867)[1].
[modifier] Figure allégorique nationale
Helvetia est une figure allégorique féminine personnifiant la Suisse. Son nom vient des Helvètes, une peuplade Celte qui a occupé le plateau suisse à partir de 100 av. J.-C. environ[2] et désigne également la Suisse. Les Helvètes vont être progressivement incorporés à l'imagerie populaire des ancêtres fondateurs de la nation.
Au 17e siècle, la Confédération ne possédait pas encore de représentation symbolique forte. Au 18e siècle Helvetia et Guillaume Tell sont des symboles patriotiques suisse. A partir de 1848 Helvetia devient l'emblème national du nouvel État fédéral. Ce symbole devient alors omniprésent que cela soit sous la forme d'œuvre d'art, sur les monuments, sur les timbres ou sur les monnaies[3].
[modifier] Mythes fondateurs de la Suisse
Un certain nombre de mythes et de légendes sont associés aux épisodes anciens de l'histoire suisse.
La plupart des événements sont situés tout au début du XIVe siècle et sont relatés dès les XVee et XVIe siècle à partir de récits oraux dans des chroniques comme par exemple le Livre blanc de Sarnen[4], la chronique de Petermann Etterlin[5] ou Le Chronicon Helveticum[6] de Gilg Tschudi.
L'image et la représentation scénique contribuent à répandre ces histoires, tel que la peinture monumentale Die drei Eidgenossen beim Schwur auf den Rütli (Les trois Confédérés faisant serment sur le Grütli), de Johann Heinrich Füssli (1780) ou la pièce de théâtre Guillaume Tell de Friedrich Schiller (1804).
Les chroniques seront mises en doute vers 1760 déjà par la publication du Pacte fédéral de 1291 et par la découverte des racines nordiques de la légende de Tell[7].
Dès lors, dans la seconde moitié du XIXe siècle, l'accent a été mis sur le côté idéal de ces différents événements légendaires afin d'inspirer l'amour de la patrie et de fortifier les liens entre les cantons formant le nouvel État fédéral suisse existant dès 1848.
Ces mythes sont :
Les Romains sous le joug : Ce mythe commémore la victoire de Divico sur les Romains, lors de la bataille d'Agen (107 av. J.-C.).
Le serment du Grütli : Cet accord entre trois communautés situées dans ce qui forme de nos jours la Suisse primitive, a été considéré jusqu'au XIXe siècle comme l'acte fondateur de la Confédération suisse et reste de nos jours un élément important de l'imaginaire populaire. Il ne doit pas être confondu avec le pacte fédéral d'alliance perpétuelle de 1291 entre les communautés d'Uri, de Schwyz et de Nidwald [8],[9].
Guillaume Tell : Il aurait vécu dans le canton d'Uri au début du XIVe siècle et se serait rebellé contre le bailli autrichien qui l'avait défié de tirer un carreau d'arbalète dans une pomme posée sur la tête de son fils. Au XIXe siècle Tell devient le symbole légendaire d’une identité nationale ancestrale.
La destruction des châteaux : La légende de la destruction des châteaux raconte que des petits châteaux en forme de tour construits vers 1300 par les Habsbourg voulant faire administrer leurs biens situés sur le territoire des Waldstätten par des baillis étrangers, se heurtent à la résistance des habitants des vallées et que ceux-ci ont détruits ces petits châteaux peu de temps après, vers 1314.
Winkelried : Arnold von Winkelried est un héros légendaire qui permit aux Confédérés de remporter la victoire sur les troupes du duc Léopold III d'Autriche lors de la bataille de Sempach le 9 juillet 1386, les Suisses n'arrivant pas à percer le front des lances autrichiennes.
La soupe au lait de Kappel : Légende suisse symbolisant l´esprit de neutralité helvétique. Lors de la première guerre de Kappel qui est une guerre de religion ayant opposé les cantons catholiques aux protestants, avant le déclenchement des hostilités, ayant pris connaissance de négociations de paix, les soldats des deux camps auraient partagé sur la frontière qui les séparait une soupe faite de lait et de pain, préparée dans un grand chaudron.
[modifier] Traditions et vie quotidienne
[modifier] Langues
La Suisse est découpée en quatre zones linguistiques reconnues en principe unilingues: une zone de langue allemande, une zone de langue française, à l'ouest du pays, une zone de langue italienne, la Suisse italienne représentée par le canton du Tessin et quelques vallées méridionales des Grisons et une zone de langue romanche uniquement aux Grisons[10].
Les frontières linguistiques sont fixées par les cantons car ce sont eux qui déterminent leurs langues officielles et veillent à la répartition territoriale traditionnelle des langues. Selon le principe de territorialité chaque commune a une langue officielle et, par exemple, lorsqu'un suisse germanophone s'établit en Suisse romande il doit accepter la langue officielle de son lieu de résidence et, notamment, accepter que l'école publique se fasse en français[11].
Les zones linguistiques telles que nous les connaissons au début du XXIe siècle siècle sont nées il y a plus de 1 000 ans, avant la naissance de la Confédération, et sont demeurées presque inchangées[12].
Entre les Ier siècle av. J.-C. au IVe siècle, le territoire de la Suisse actuelle est sous domination de l'Empire romain et le latin s'est imposé comme langue écrite[13].
Dès la fin du IIIe siècle, la population romaine migre vers le sud. Le territoire suisse est occupé par les Burgondes à l'ouest et par les Alamans à l'est[14]. Les Burgondes, qui utilisaient une langues de la branche germanique orientale aujourd'hui éteinte, adoptèrent le latin local des habitants qui se transforma en franco-provençal puis en français. A l'est, les langues germaniques se transformèrent en dialectes alémaniques[11].
Cette frontière linguistique qui trouve ses racines dans l'histoire est nommée le Röstigraben est toujours actuelle et n'est pas une frontière naturelle nette. À ce titre, l'étude des noms de localités permet de retracer les différentes zones soumises à l'influence plus ou moins avancées des différents langages. Ainsi, si les noms de villages se terminant en -ens ou -ence, curieusement fréquents dans les cantons de Fribourg et Vaud jusqu'au bord du lac Léman, sont d'origine alamande et montrent ainsi des percées larges dans le territoire burgonde, les préfixes Wal- et Walen- (ce qui signifie Welch, soit Roman) se trouvent en nombre dans la zone comprise entre l'Aar et la Sarine, qui fixe la frontière linguistique à partir du VIIIe siècle.
Les Suisses alémaniques appellent parfois les Romands, les Welsches et la Suisse romande, le Welschland. Le mot Welsch signifiant celte en vieil allemand. Il a ensuite été repris pour qualifier les peuples de langue romane dans les zones majoritairement francophones comme la Romandie (Welschland) .
Si la majorité des cantons sont unilingues certains ont leur territoire partagé en deux voire trois zones linguistiques. Pour ceux-ci (Fribourg, Valais, Berne et Grisons), c'est toujours le principe de la territorialité qui est appliqué et donc, par exemple, bien que le canton de Berne soit bilingue, l'allemand n'est pas la langue officielle dans le Jura bernois mais uniquement le français. À l'inverse en ville de Berne c'est l'allemand qui est officiel.
Par contre, pour certaines villes situées sur une frontière linguistique, le bilinguisme est effectivement appliqué au niveau communal. Par exemple Bienne est bilingue allemand - français et Fribourg billingue français - allemand.
Si le principe de territorialité est primordial, la Confédération protège les langues des minorités italophones et romanches car elles sont particulièrement défavorisées : Les principales hautes écoles se trouvent soit en Suisse romande ou en Suisse allémanique. Aussi ces minorités sont contraintes de parler l'allemand pour défendre leur économie face à la Suisse allemande. La plupart des Suisses parlent plus d’une langue. A l'école, l'enseignement d'une autre langue nationale comme langue étrangère est obligatoire et est du ressort de chaque canton. On constate également que lors de réunions d'affaires ou de conférences nationales, il est fréquent que chacun prenne la parole dans sa langue maternelle, supposant qu'elle sera comprise par ses homologues. Également, la plupart des produits commerciaux sont étiquetés en français, en allemand et en italien.
Dans l'usage courant des langues la population germanophone parle généralement l'un des nombreux dialectes suisses allemands ou Schwyzerdütsch[18], lesquels jouissent d'une grande valorisation sociale, y compris dans les centres urbains. Le suisse allemand emprunte certains termes étrangers au français, italien ou anglais. En linguistique on désigne par helvétisme une tournure ou une expression typiques de la Suisse, par exemple : Perron, Kondukteur et Billet au lieu de Gleis, Schaffner et Fahrkarte[19].
L’usage de l’allemand standard – Hochdeutsch ou « bon allemand » – est limité aux situations les plus formelles ainsi que celle des journaux et des magazines. Dans le milieu scolaire, afin d’élever le niveau d’allemand des élèves qui généralement préfèrent parler le dialecte, plusieurs cantons alémaniques (dont Zurich, Schwytz, Uri et Zoug) ont imposé l’usage systématique du Hochdeutsch, et les professeurs sont tenus de s’exprimer exclusivement dans cette langue.
Le français parlé dans l’ouest du pays, le français de Suisse, se différencie peu du français de France. Il se caractérise par quelques termes issus du francoprovençal (mieux nommé arpitan), tels que septante, huitante ou nonante, ainsi que localement par des mots et expressions issues de langues germaniques tel que mouttre, witz, ou poutser. Les dialectes sont encore pratiqués localement, notamment en Valais et dans le canton de Fribourg, mais ils ont presque disparu dans l’usage quotidien.
Les italophones sont représentés par le canton du Tessin et quelques vallées méridionales des Grisons où l'on parle un dialecte tessinois, apparenté aux parlers lombard. La langue écrite est l'italien.
Le romanche (une langue romane du groupe rhéto-roman proche du ladin et du frioulan), localisée aux Grisons, est fortement minoritaire et en déclin : il voit son territoire se réduire au fil du temps. Grâce à son statut de langue nationale et au titre de la protection des langues minoritaires, la radio et télévision en langue romanche et celle en italien, par exemple, bénéficient d'une diffusion sur l'ensemble du territoire suisse.
Il existe encore quelques langues régionales soit anciennes ou très locales ou même des langues sans ancrage territorial.
[modifier] Fêtes
De part la diversité culturelle la plupart des fêtes sont locales ou régionales. Certaines fêtes sont célébrées dans toute la Suisse comme la fête nationale suisse, le Jeûne fédéral ou les principales fêtes religieuses. Les cantons sont compétents et déterminent eux-même leur propres jours fériés[20] ainsi à côté des principales fêtes communes à tous les cantons certains jours fériés locaux diffèrent selon les cantons, voire entre communes d'un même canton.
La fête nationale suisse est célébrée le 1er août. Chaque commune organise à la tombée de la nuit feu de joie, cortège aux lampions et allocutions. Éventuellement un feu d'artifice. C'est un jour férié officiel dans toute la Suisse depuis 1994 seulement.
[modifier] Jours fériés
Les cantons choisissent leur propres jours fériés, jusqu’à huit dans l’année. 21 cantons utilisent intégralement cette possibilité. Légalement, les jours fériés sont assimilés à des dimanches et ont donc les mêmes restrictions que ceux-ci en matière d'ouverture des magasins et des entreprises et de trafic routier.
Les jours fériés varient donc beaucoup d’un canton à l’autre. Seuls Noël, le Nouvel An et le 1er août sont communs à tous, les autres fêtes (Vendredi saint et Lundi de Pâques, Ascension, Lundi de Pentecôte et Fête-Dieu, Assomption et Toussaint, Jeûne fédéral) étant reconnues par les cantons selon leur tradition principalement religieuse (catholique ou protestante). Seule la fête nationale, le 1er août, est ancrée dans la constitution fédérale.
À côté des jours fériés, il y a également des jours chômés. Ces jours-là, non assimilés à des dimanches, de nombreuses entreprises et administrations sont néanmoins fermées dans le canton concerné.
[modifier] Cuisine et produits suisses
[modifier] Jeux
[modifier] Musique
[modifier] Architecture
La Suisse est pourvue de grands architectes qui travaillent dans le monde entier comme Mario Botta, un architecte tessinois, les architectes associés Herzog & de Meuron ou Le Corbusier (1887-1965).
La Suisse compte plusieurs cathédrales anciennes protestantes et catholiques, dont la cathédrale Saint-Pierre de Genève, la cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg, la cathédrale de Lausanne, la cathédrale de Bâle, la cathédrale de Berne et la cathédrale Notre-Dame de Sion.
Certains sites font partie du patrimoine mondial de l'UNESCO, comme la vieille ville de Berne, les trois châteaux, muraille et remparts du bourg de Bellinzone
[modifier] Nature
Environnée d'une nature admirable et renommée, la Suisse offre de merveilleux paysages dont les plus marquants sont, entre autres, le parc national suisse, l'étang de la Gruère, le lac des quatre cantons, le lac de Constance et l'ensemble Jungfrau, glacier d'Aletsch et Bietschhorn.
[modifier] Lieux et événements
[modifier] Expositions nationales suisses
[modifier] Festivals
[modifier] Musées
On trouve un grand nombre de musées en Suisse : voyez la Liste des musées suisses. Certains sont plus médiatiques que d'autres, comme le Musée Olympique, à Lausanne, ou la Fondation Gianadda à Martigny.
[modifier] Arts
[modifier] Beaux-Arts et arts plastiques
[modifier] Photographie, bande dessinée et arts graphiques
[modifier] Musique
Les musiciens Ernest Ansermet, Arthur Honegger et Émile Jaques-Dalcroze ont une renommée qui dépasse largement les frontières suisses.
Dans un genre plus moderne, plusieurs musiciens (tel que Stéphane Eicher) ou groupes de rock (tel que Le Beau Lac de Bâle à Genève) ont une notoriété locale, nationale ou même internationale.
[modifier] Spectacle et danse
[modifier] Cinéma
Longtemps à la tête de la Cinémathèque suisse, Freddy Buache retrace l'histoire contemporaine du cinéma suisse, marquée par de grands réalisateurs comme Jean-Luc Godard et Alain Tanner.
[modifier] Littérature
La Suisse a donné naissance à de grands écrivains dont la renommée n'est plus à faire : en Suisse alémanique, Friedrich Dürrenmatt et Max Frisch font partie des écrivains contemporains les plus célèbres, qu'on étudie à l'école ; en Suisse romande, Charles Ferdinand Ramuz et Jacques Chessex n'ont rien à leur envier ; au Tessin, Giovanni Orelli et Alberto Nessi sont deux figures marquantes.
[modifier] Médias
Les journaux suisses romands comme Le Temps et Le Courrier ou suisses alémaniques comme le Neue Zürcher Zeitung sont proéminents. Il existe aussi beaucoup de journaux régionaux (cf. la Catégorie:Presse écrite suisse).
[modifier] Sport
La Suisse a toujours été très impliquée dans les sports. Elle est l'un des seuls pays à toujours participer aux jeux olympiques d'été et d'hiver. De nombreux champions de sport sont suisses, tels que Roger Federer, Martina Hingis, Simon Ammann, Stéphane Lambiel, Denise Biellmann, Bernhard Russi, Lise-Marie Morerod, Sarah Meier, Maya Pedersen-Bieri, Vreni Schneider Pirmin Zurbriggen ou Marcel Fässler. La Suisse possède même une écurie engagéé dans des course d'endurance comme les célèbres 24 Heureus du Mans : le Swiss Spirit.
[modifier] Annexes
[modifier] Notes et références
- ↑ Comment un chant d'église est devenu hymne national article sur Admin.ch consulté le 14 avril 2008.
- ↑ Helvètes - Les Helvètes avant la guerre des Gaules en français, allemand et italien dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Helvétia (allégorie) en français, allemand et italien dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Le Livre blanc de Sarnen donne raison à la légende Article Swissinfo consulté le 16 avril 2008.
- ↑ Petermann Etterlin en français, allemand et italien dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Tschudi et les origines de l'historiographie Article Swissinfo consulté le 16 avril 2008.
- ↑ Historiographie et recherche en français, allemand et italien dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Pacte fédéral du 1er août 1291 sur Admin.ch "vallée inférieure d'Unterwald" signifie Nidwald
- ↑ Pacte fédéral du 1er août 1291 sur Cliotexte
- ↑ article 4 de la Constitution fédérale
- ↑ a b L'aménagement linguistique dans le monde : La Suisse fédérale auteur : Jacques Leclerc, consulté le 28 avril 2008.
- ↑ (fr) Droit des langues en Suisse, consulté le 30 avril 2008.
- ↑ J.-P. Felber, De l'Helvétie romaine à la Suisse romande op. cit page 33
- ↑ J.-P. Felber, De l'Helvétie romaine à la Suisse romande op. cit page 44
- ↑ (fr) [pdf] Le paysage linguistique en Suisse, recensement fédéral 2000, page 7 consultée le 3 mai 2008.
- ↑ Langues étrangères ou immigrantes non nationales.
- ↑ Le serbe, croate, albanais, portugais, espagnol et anglais sont les principales langues étrangères Le paysage linguistique en Suisse, recensement fédéral 2000, page 11 consultée le 3 mai 2008.
- ↑ Histoire du suisse alémanique en français, allemand et italien dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ (fr) Allocution prononcée par le conseiller fédéral Christoph Blocher à l’Institut national genevois, le 12 novembre 2007, à Genève : "Frontières linguistiques" sur http://www.ejpd.admin.ch/ejpd/fr/home.html Confédération suisse - Département fédéral de justice et police. Consulté le 12 mars 2008.
- ↑ Les cantons peuvent assimiler au dimanche huit autres jours fériés par an au plus et les fixer différemment selon les régions. Selon l'article 20a de la RS 822.11 Loi fédérale sur le travail dans l’industrie, l’artisanat et le commerce
[modifier] Liens et documents externes
- (de)(en)(fr)(it) Office fédéral de la culture.
- (fr) L'aménagement linguistique dans le monde auteur : Jacques Leclerc, consulté le 28 avril 2008.
[modifier] Bibliographie
- Mythes fondateurs :
- G. Kreis, Der Mythos von 1291. Zur Entstehung des schweizerischen Nationalfeiertages, in Die Entstehung der Schweiz, éd. J. Wiget, 1999, pp. 43-102
- G. Kreis, Mythos Rütli, 2004
- Jean-François Bergier, Guillaume Tell, Paris, 1988
- Warja Lavater, Guillaume Tell, Éditions Heuwinkel, 1991
- Jacques V. Pollet, Huldrych Zwingli : biographie et théologie, Genève : Labor et Fides, 1988. (OCLC 19962442)
- Helmut Meyer, « Kappel, guerres de - La première guerre » dans DHS.
- Langues :
- (fr) [pdf] Le paysage linguistique en Suisse, recensement fédéral 2000 auteurs : Georges Lüdi, Université de Bâle et Iwar Werlen, Université de Berne. Éditeur : Office fédéral de la statistique, 2005.
- Christophe Büchi, Mariage de raison, Romands et Alémaniques : une histoire suisse (Röstigraben), éditions Zoé, 2001 (ISBN 2881824412 et ISBN 978-2881824418)
- Fêtes :
- Textes de Éric Schwabe, Fêtes et traditions de Suisse, éditions Avanti, 1985
- Cinéma :
- Freddy Buache, Le cinéma suisse, 1898-1998, Lausanne, L'Age d'Homme, 1998