2e régiment parachutiste d'infanterie de marine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

2e Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine

Insigne
2e RPIMa
2eBCCP
Période 1947
Pays France France
Branche Armée de Terre
Type Troupes de marine
Rôle parachutiste d'infanterie
Garnison Saint-Pierre à La Réunion
Couleurs Rouge et bleu
Devise A la vie. A la mort
(jusqu'au 5 juillet 1962)
Depuis : Ne pas subir
Inscriptions sur l'emblème INDOCHINE 1947-1954
PORT SAÏD 1956
AFN 1952-1962
Anniversaire Bazeilles
Equipement Fusils d'assaut FAMAS, fusil de précision FRF1, véhicules gamme civile et tactiques P4, poids lourds-GBC, 8KT, SUMB, postes de transmissions-PR4G.
Guerres Guerre d'Indochine
Guerre d'Algérie
Décorations Il est décoré de la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix des Théâtres des Opérations extérieures. avec (4 palmes) Le régiment est cité quatre fois à l'ordre de l'armée.

Le 2e régiment parachutiste d'infanterie de marine est une unité d'infanterie parachutiste de l'armée française créée en 1947.Il est l'héritié du 2e BCCP et de la gloire des parachutistes coloniaux.

Sommaire

[modifier] brevet parachutiste

[modifier] insigne régimentaire

Un sabre planté avec l’inscription « ne pas subir » derrière un parachute avec une ancre de marine soutenu par deux ailes.

[modifier] Devise

Jusqu'au 5 juillet 1962, sa devise était : "A la vie. A la mort". La devise actuelle du 2e RPIMA est : « Ne pas subir »

[modifier] Drapeau

Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre des TOE

Sa cravate est décorée de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix des Théâtres des Opérations extérieures. Avec (4 palmes) Le régiment est cité quatre fois à l'ordre de l'armée.

Dans ses plis sont inscrit en lettres d'or[1] :

[modifier] Chefs de corps

100ppx
  • INDOCHINE
  • Chef de bataillon DUPUIS 15/11/1947 - 28/11/1948
  • Capitaine TRINQUIER 29/11/1948 - 13/12/1949
  • Capitaine TOCE 01/02/1950 - 00/02/1952
  • Capitaine LENOIR 00/03/1952 - 24/01/1953
  • AFN
  • Chef de bataillon FERRANO 10/1955 - 11/1955
  • Colonel Pierre Chateau-Jobert, dit "Conan" 1955-1957
  • Colonel FOSSEY-FRANCOIS 1957-1958
  • Colonel Olivier LE MIRE 1958-1960.
  • Colonel TOCE 1960-1961
  • Chef de bataillon MOLLO 1961-1962
  • MADAGASCAR
  • chef de bataillon GRAS 1965-1966
  • colonel LE BORGNE 1966-1968
  • Lieutenant-colonel LE BOUDEC 1968-1970
  • lieutenant-colonel FOUCHER 1970-1972
  • Lieutenant-colonel Ralph FIRTH 1972-1973
  • REUNION
  • lieutenant-colonel FIRTH 1973-1974
  • Lieutenant-colonel SUBREGIS 1974-1976
  • lieutenant-colonel SALAUN 1976-1978
  • lieutenant-colonel VIARD 1978-1980
  • lieutenant-colonel SEPULCHRE 1980-1982
  • colonel CLUSET 1982-1984
  • colonel FRUCHARD 1984-1986
  • colonel MEAUDRE-DESGOUTTES 1986-1988
  • colonel RAFFENNE 1988-1990
  • colonel JOANA 1990-1992
  • colonel jean BRANTSCHEN 1992-1994
  • lieutenant-colonel SOUM 1994-1996
  • Colonel André HELLY 1996-1998
  • Colonel philippe BENY 1998-2000
  • colonel Fernand GEORGES 2000-2002
  • Colonel Franck REIGNIER 2002-2004
  • colonel Eric DE VATHAIRE 2004-2006
  • colonel T. DE LA DOUCETTE 2006-

[modifier] Histoire

insigne de béret paras T.D.M.
insigne de béret paras T.D.M.

En 1947, le 2e bataillon colonial de commandos parachutistes part en Indochine, où il combattra jusqu'en 1953 en 02 séjours ( 1947-1949 et 1950-1953 ) cité trois fois à l'ordre de l'armée.

En 1955, le régiment prend l'appellation de 2e Régiment de Parachutistes Coloniaux( par regroupement 1er , 5e et 8e B.P.C dissous ) puis, en 1958 de 2e Régiment de Parachutistes d'Infanterie de Marine. Il sert de 1955 à 1962 en Afrique du Nord. Le 5 Novembre 1956 lors de la crise du canal de Suez, il saute en deux vagues à Port Saïd (Opération Mousquetaire) et il est cité à l'ordre de l'Armée.

En Juillet 1961, il saute sur Bizerte et brise l'étreinte Tunisienne sur les installations aéroportuaires Françaises.

Dissous le 5 juillet 1962, le 2e RPIMa est recréé le 1er janvier 1965 à Ivato (Madagascar) à partir du 5e Bataillon de Parachutistes d'infanterie de Marine.

Il rejoint La Réunion en 1973 ou il intègre en son sein la 2e compagnie de Bourbon compagnie de tradition de l'île et dont un grand ancêtre est le régiment des volontaires des Bourbons (1799). Depuis La Réunion, il participe à diverses opérations : Djibouti (1993/1994) Comores (1990) Rwanda (1994) Comores (1995/1996).

[modifier] Traditions

La fête des troupes de marine
  • Elle est célébrée à l'occasion de l'anniversaire des combats de BAZEILLES . Ce village qui a été 4 fois repris et abandonné sur ordres, les 31 août et le 1er septembre 1870.
Et au Nom de Dieu, vive la coloniale
  • Les Marsouins et les Bigors ont pour saint patron Dieu lui-même. Ce cri de guerre termine les cérémonies intimes qui font partie de la vie des régiments.

[modifier] Ne pas oublier les morts de la guerre d'Indochine

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur l'Infanterie de marine.

[modifier] Notes et Références

  1. Service Historique de la Défense, Décision N° 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007
Autres langues

Wikipedia HTML 2008 in other languages

100 000 +

Česká (Czech)  •  English  •  Deutsch (German)  •  日本語 (Japanese)  •  Français (French)  •  Polski (Polish)  •  Suomi (Finnish)  •  Svenska (Swedish)  •  Nederlands (Dutch)  •  Español (Spanish)  •  Italiano (Italian)  •  Norsk (Norwegian Bokmål)  •  Português (Portuguese)  •  Română (Romanian)  •  Русский (Russian)  •  Türkçe (Turkish)  •  Українська (Ukrainian)  •  中文 (Chinese)

10 000 +

العربية (Arabic)  •  Български (Bulgarian)  •  Bosanski (Bosnian)  •  Català (Catalan)  •  Cymraeg (Welsh)  •  Dansk (Danish)  •  Ελληνικά (Greek)  •  Esperanto  •  Eesti (Estonian)  •  Euskara (Basque)  •  Galego (Galician)  •  עברית (Hebrew)  •  हिन्दी (Hindi)  •  Hrvatski (Croatian)  •  Magyar (Hungarian)  •  Ido  •  Bahasa Indonesia (Indonesian)  •  Íslenska (Icelandic)  •  Basa Jawa (Javanese)  •  한국어 (Korean)  •  Latina (Latin)  •  Lëtzebuergesch (Luxembourgish)  •  Lietuvių (Lithuanian)  •  Latviešu (Latvian)  •  Bahasa Melayu (Malay)  •  Plattdüütsch (Low Saxon)  •  Norsk (Norwegian Nynorsk)  •  فارسی (Persian)  •  Sicilianu (Sicilian)  •  Slovenčina (Slovak)  •  Slovenščina (Slovenian)  •  Српски (Serbian)  •  Basa Sunda (Sundanese)  •  தமிழ் (Tamil)  •  ไทย (Thai)  •  Tiếng Việt (Vietnamese)

1 000 +

Afrikaans  •  Asturianu (Asturian)  •  Беларуская (Belarusian)  •  Kaszëbsczi (Kashubian)  •  Frysk (Western Frisian)  •  Gaeilge (Irish)  •  Interlingua  •  Kurdî (Kurdish)  •  Kernewek (Cornish)  •  Māori  •  Bân-lâm-gú (Southern Min)  •  Occitan  •  संस्कृत (Sanskrit)  •  Scots  •  Tatarça (Tatar)  •  اردو (Urdu) Walon (Walloon)  •  יידיש (Yiddish)  •  古文/文言文 (Classical Chinese)

100 +

Nehiyaw (Cree)  •  словѣньскъ (Old Church Slavonic)  •  gutisk (Gothic)  •  ລາວ (Laos)