Albéric de Montgolfier

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Albéric de Montgolfier (né le 6 juillet 1964 à Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine). Président du conseil général d'Eure-et-Loir, conseiller général d'Orgères-en-Beauce (Eure-et-Loir). Marié le 18 juin 2005 à Audrey Hamon, père d'un enfant, Marguerite, née le 21 juin 2006.

Sommaire

[modifier] Engagement politique

Grâce à deux élections qui se sont jouées à très peu de voix, Albéric de Montgolfier est devenu en quelques années une personnalité politique de premier plan en Eure-et-Loir.

En 1998, il est élu conseiller général (divers droite) canton d'Orgères-en-Beauce avec à peine 10 voix d'avance sur le conseiller général sortant (divers gauche) et maire du chef-lieu de canton.

En 2001, suite au décès accidentel de Martial Taugourdeau, Gérard Cornu, sénateur RPR et premier vice-président du conseil général devient président par intérim. Pour pourvoir à son remplacement définitif, les élus du groupe de la majorité départementale (RPR/UDF/divers droite), organisent une primaire interne qui oppose Gérard Cornu, souvent considéré comme "favori", à Albéric de Montgolfier. Ce dernier remportera la primaire avec seulement une voix d'avance. Il devient ensuite logiquement président du conseil général.

Réélu en 2004 et 2008, membre de l'UMP, Albéric de Montgolfier conduit une majorité "Gagner avec l'Eure-et-Loir" qui regroupe des élus "de la droite républicaine au centre-gauche".

Il annonce le 15 mai 2008 sa candidature aux élections sénatoriales de septembre 2008[1].

[modifier] Mesures et réalisations

Parmi les mesures importantes qu'il a initiées on peut noter :

  • l'élaboration d'un Livre blanc pour l'Eure-et-Loir (2004 - actualisation en 2007), élaboré en concertation avec les forces vives du département et après consultation de la population, qui a pour objectif de définir les axes de développement du département à 15 ans ;
  • la confortation de la politique sociale, l'Eure-et-Loir étant en 2005 le 14e département français pour son budget consacré à la solidarité et à l'action sociale ;
  • un plan de couverture du département en internet haut-débit ;
  • la mise en place d'un plan d'action culturelle ambitieux fondé notamment sur la mise en valeur du patrimoine (Château de Maintenon, Château de la Ferté-Vidame, Abbaye de Thiron-Gardais, etc.), la réalisation d'équipements structurants (Centre d'art contemporain à Dreux) et l'organisation d'événements culturels (Journées lyriques de Chartres et d'Eure-et-Loir) ;
  • l'initiation d'un plan de lutte contre l'échec scolaire ;
  • un soutien renforcé à la Cosmetic Valley ;
  • la réforme des aides du conseil général aux communes avec la création d'un fonds départemental dédié ;
  • un soutien à la structuration d'une filière économique fondée sur la valorisation des production agricoles "Agrodynamic" ;
  • la mise en place d'un "Plan santé 28" qui vise à faciliter l'installation de médecins dans les zones en déficit de professionnels de santé.

[modifier] Opposants

Cette action est contestée par les élus de la minorité départementale (PS/PRG/Divers gauche), dont le principal leader est Jacky Jaulneau (PS). Ils reprochent notamment le maintien d'un système d'attribution spécifique au conseil général d'Eure-et-Loir, des subventions aux communes via le fonds de péréquation des droits de mutation. En décembre 2006, Brigitte Santerre, élue PS du canton de Chartres Sud-Ouest et Jean-Pierre Gaboriau, élu nouvellement UDF, ex-Divers gauche, du canton de Châteauneuf-en-Thymerais ont quitté le groupe de la minorité départementale. Au niveau départemental, les médias l'opposent régulièrement au député-maire UMP de Chartres, Jean-Pierre Gorges au point que la presse locale (L'Écho républicain - septembre 2005) l'a classé comme l'un de ses "ennemis politiques". En 2007, il soutient néanmoins Jean-Pierre Gorges aux élections législatives, et a accepté de faire figurer sur son tract de campagne une longue interview.

[modifier] Eléments biographiques

[modifier] Formation

[modifier] Parcours professionnel

[modifier] Parcours politique

[modifier] Notes & références

  1. in L'Echo républicain du 15/05/2008

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

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