Discuter:Constantine (Algérie)
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[modifier] Images
Les images sont surtout à connotation historique et n'ont rien à avoir avec aujourd'hui, tel est mon avis. Elles devraient être déplacées vers un autre article... Quelqu'un ne partage pas mon avis ? -Nicobn 28 octobre 2005 à 06:05 (CEST)
Oui, j'ajoutes les images utilisés à la Wikipedia anglophone. Aaker 16 février 2007 à 17:59 (CET)
Je ne suis pas trop sûr de l'endroit où ajouter des photos, ni de la procédure à suivre, mais je souhaite ajouter Les quelques photos suivantes, partagées en Creative Commons ShareAlike : [1], [2], [3], [4], [5], [6], [7], [8].
Si d'autres photos de constantine vous plaisent sur la gallery, il n'y a aucun probleme pour les partager sur la même license. Sami Dalouche (88.163.20.163 (d))
[modifier] Personnalités
Le général Juin ; Enrico Macias (Gaston Ghrenassia) naît le 11 décembre 1938 ; Cheikh Raymond, Raymond Leyris dans le civil, fut le grand chantre du maalouf, musique judéo-arabe ou arabo-andalouse, selon les sources. il est le beau-père d'Enrico Macias qui faisait partie de son orchestre. Sa mort donna le signe définitif du départ à la communauté juive de Constantine aprés plusieurs siècle de présence.
[modifier] recherche
douar chebba (ancien) dépend de Constantine ou d'ailleurs
[modifier] Université de Constantine
j'ai entendu dire que la forme des batiments de l'université construite par l'architect brésilien seraient particulieres et representeraient des outils d'architect justement , personne n'aurait une photo prise de haut, ou meme une image de google earth ? merci d'avance
[modifier] Texte rajouté n'importe comment sur la page d'homonymie
Je le copie-colle ici : il faudrait fusionner. Remi Mathis (d · c). À Paris, ce 25 août 2007 à 15:59 (CEST)
Constantine قسنطينة (Quassantina en arabe) Capitale de l'est algerien, ville construite sur un roché par les Romains depuis plus de 2000 ans, ville des ponds suspendus, ville du malouf et des oulamas (les savants), elle se situe a 450 Km de l'est de la capitale Alger, 2éme ville algerienne par sa population.
Constantine, aujourd'hui peuplée de plus de 450 000 habitants (environ 120 000 en 1960), est située au nord-est de l'Algérie.
L'évolution géologique du site est assez extraordinaire. Au quaternaire le Rocher de Constantine n'était pas détaché de celui de Sidi M'Cid, et à cet endroit le eaux d'un torrent coulaient vers le Sud (à l'inverse du cours actuel). Plus tard le Rhumel, qui jusqu'alors passait à l'Ouest du Rocher, vint buter sur la falaise. Les eaux creusèrent une galerie souterraine, et trouvèrent une issue vers le Nord. Les voûtes s'écroulèrent donnant peu à peu l'aspect actuel. Le canyon fait 1800m de long, profond de 135m à son début, il atteint près de 200m à Sidi M'Cid.
La ville s'étend sur un plateau rocheux à 649 mètres d'altitude. Elle est coupée des régions qui l'entourent par des gorges profondes où coule l'oued Rhumel, de tous côtés sauf à l'ouest. Le choix de cet emplacement est avant tout une stratégie de défense. Aux alentours, la région dotée de terres fertiles a fait de Constantine le grenier du pays à l'époque romaine.
L'ouverture sur la mer est assurée par le port de Skida (ex Philippeville), qui avec Constantine et Annaba (ex Bône) forme un triangle industriel important.
La géographie de la ville elle-même est unique. Sa situation a nécessité la construction de nombreux ponts. A la fin du XIXe siècle, Guy de Maupassant décrit : "Huit ponts jadis traversaient ce précipice. Six de ces ponts sont en ruines aujourd'hui." Aujourd'hui les ponts les plus importants sont, le pont suspendu de Sidi M'Cid à 175 mètres au-dessus du Rhumel, le pont d'El-Kantara ouvrant la route vers le nord, et le pont de Sidi Rached long de 447 mètres et reposant sur 27 arches dont une de 70 mètres.
La vieille casbah conserve de très belles demeures du XVIe et XVIIe siècles. D'autres monuments comme la grande mosquée ou le palais du Bey témoignent de la richesse architecturale de Constantine. Le musée de Cirta rassemble le patrimoine culturel de la ville.
Aujourd'hui la ville se modernise : le building de 22 étages de l'Université, et l'élégante silhouette de l'Université des sciences islamiques "Émir Abd El Kader" en sont l'expression
Constantinois célèbres
Massinissa vers 240 avant J-C - vers 149 avant J-C Vers la fin du troisième siècle av. J.C., apparaît un descendant de la dynastie massylienne ( La Massylie est une partie de la Numidie : actuellement la partie orientale de l'Algérie et la partie occidentale de la Tunisie), Massinissa, fils de Gaia, roi dépossédé des terres de ses ancêtres par le Masaesyle Syphax. Pour récupérer cet héritage, Massinissa combat en Espagne en 206 av. J.C. aux côtés des Carthaginois, contre les Romains, alliés de Syphax. Sorti vainqueur du conflit (capture de Syphax en 203 et bataille de Zama, à la frontière algéro-tunisienne, où est défait le Carthaginois Hannibal), Massinissa emploiera son long règne (203 à 148 av. J.C., soit 56 ans) à agrandir son royaume avec la bienveillance de Rome, aux dépens de la Massésylie, à l'ouest, et de Carthage, à l'est. Massinissa un personnage vigoureux qui, sans pour autant dédaigner les fastes de son palais de Cirta (Constantine), chevauchait encore aux côtés de ses cavaliers, par tous les temps, alors qu'il était octogénaire, et laissa une nombreuse progéniture ; il organisa une puissante armée, mit en valeur le sol, noua des relations avec le monde méditerranéen (péninsule ibérique, Rome, Athènes, Rhodes, Délos) et frappa monnaie à la façon des monarques (hellénistiques). Il laisse encore le souvenir du premier souverain qui unifia la quasi-totalité de l'Afrique du Nord en un Etat organisé.
Fronton de Cirta (Marcus Cornelius Fronto) entre 90 et 100 - 175 Rhéteur latin originaire de Cirta
Orateur réputé, précepteur de l'empeur Marc-Aurèle, sa correspondance avec cet empereur sera retrouvée et publiée. Fut consul en 143 sous Antonin le Pieux. Il a une réputation prodigieuse, il a réalisé exactement l'idéal littéraire de ses comtemporains ; et si nous trouvons, nous, dans ses oeuvres, beaucoup d'affectation, de la prétention et du mauvais goût, nous ne devons pas oublier que ces défauts, pour les Romains du IIe siècle, étaient des qualités et que Fronton a été unanimement reconnu, de son vivant, comme un très grand artiste.
Une rue du quartier Saint-Jean porte son nom.
Constantin Ier Le Grand (Caius Flavius Valerius Aurelius Constantinus) entre 270 et 288 - 337 Re-fondateur de Constantine Après la victoire des Romains sur les Numides vers 203 av. J.-C., Cirta devint une importante colonie romaine. En 310, elle fut mise à sac par l'armée de l'empereur Maxence, qui régna sur la moitié occidentale de l'Empire romain de 306 à 312. C'est l'empereur Constantin le Grand qui rebâtit la ville en 313 après J.-C. et lui donna son nom.
Salah Bey 1725 (Izmir en Turquie) - 1792 Bey de Constantine de 1771 à 1792
Constantine fut choisie au XVIème siècle pour être la capitale du Beylik de l'Est. Le Bey était nommé par le pacha d'Alger qui pouvait le révoquer à volonté. Plus qu'aucun autre, Salah Bey fit vraiment figure de prince. S'appliquant à continuer l'œuvre entreprise par ses prédécesseurs, il voulut doter Constantine de constructions dignes d'un chef-lieu de grande province. En faisant raser de vieilles maisons, il réorganisa tout un quartier, celui de Sidi el-Kettani, voisin de la Kasbah. Il y fit édifier une belle mosquée à laquelle il adjoignit une medersa. Cette école étant devenue rapidement insuffisante, il en créa une seconde à Sidi Lakhdar. On lui doit aussi la reconstruction du pont d'El-Kantara dont le passage avait été interrompu pendant cinq siècles. La carrière de Salah Bey connut une fin dramatique ; Hassan Pacha, le Dey, le démit de ses fonctions, et, devant son refus d'obéir, le fit assassiner, en 1792.
Hadj Ahmed Bey Constantine vers 1784 - 1850
Hadj Ahmed, dernier bey de Constantine, est l'une des grandes figures de la résistance au colonialisme. Après avoir occupé plusieurs postes de responsabilité, il devint gouverneur du Beylik de l'Est en 1826, au temps du Dey Hussein. Le dernier bey de Constantine fit construire son palais de 1826 à 1835. Il eut recours à deux artistes réputés, El Hadj el-Djabri, originaire de la ville et le Kabyle El-Khettabi. Il livra et remporta sa première bataille à Constantine, en 1836, contre les troupes commandées par le maréchal Clauzel. Le 21 novembre 1836, un corps de 8700 hommes arrive devant Constantine. L'armée française entreprit deux assauts par le pont, mais ils se brisèrent devant la porte d'EI Kantara. Battant en retraite, poursuivis par les Algériens, les soldats français abandonnèrent sur le terrain armes, bagages et blessés. En 1837, l'état-major français décida de mener une seconde expédition, qui fut confiée au général comte de Damrémont. Celui-ci disposait de 20400 hommes, dont 16000 combattants, d'une artillerie importante commandée par le général Valée et d'un corps de génie. Le 5 octobre, cette armée arriva à Constantine. Le 13 octobre, après une forte résistance la ville finit par tomber entre les mains de l'ennemi, qui subit pourtant de lourdes pertes. Hadj Ahmed Bey n'abandonna pas pour autant la lutte, et, ayant réussi à sortir de la ville avec quelques cavaliers, il se rallia des tribus de la région et se dirigea vers les Aurès en passant par Biskra. Il incita les populations de la région à organiser la résistance pour paralyser les mouvements de l'envahisseur. Mais, de plus en plus isolé et affaibli, il se rendit en juin 1848. En résidence surveillée à Alger, il y mourut en 1850.
Général Louis Juchault de Lamoricière 5 février 1806 - 2 septembre 1865
Alphonse Laveran 18 juin 1845 - 1922 Médecin, chercheur - Prix Nobel Après avoir fait ses études classiques au collège Sainte Barbe, puis au lycée Louis le Grand, le jeune Laveran intègre en 1863 limicole du Service de Santé Militaire de Strasbourg. Nommé interne des hôpitaux en 1866, il soutient en 1868 sa thèse de doctorat et rejoint aussitôt l'École d'Application du Val-de-Grâce. En 1878, son temps d'agrégation terminé, Laveran est affecté aux hôpitaux de la division de Constantine, et successivement à ceux de Bône, Biskra et Constantine, où il est promu en 1879, médecin major de 1" classe. C'est à Constantine, en 1880, que Laveran décrit dans le sang d'un soldat paludéen, des corps sphériques pigmentés identifiés à l'hématozoaire du paludisme, découverte fondamentale aussitôt rapportée à l'Académie de Médecine et à l'Académie des Sciences. C'est en 1907, que l'institut royal Carolin de Stockholm décerne à Alphonse Laveran le prix Nobel de physiologie et de médecine pour l'ensemble de ses travaux sur le rôle des protozoaires comme agents infectieux. Il a laissé son nom au lycée des filles de Constantine.
Émile Morinaud 17 février 1865 à Philippeville - ? Député-Maire de Constantine, Ministre Il devient Maire de Constantine le 27 janvier 1901. Il est ensuite élu Député et nommé Ministre. Pendant ses mandats de Maire qui durèrent 34 ans, il transforma la ville. On lui doit entre autre l'arasement du Coudiat-Aty, le pont de Sidi Rached, le pont suspendu de Sidi M'Cid, les passerelles Perrégaux et Lamy, les ascenseurs Sidi M'Cid et Perrégaux, le boulevard de l'Abîme, le Monument aux Morts, la Poste, le Casino, le Musée, le Palais de Justice, la refonte complète de l'Hôpital, de nombreuses Habitations à Bon Marché, etc, etc ...
Abdelhamid Ben Badis 1889 - 1940 Né en 1889 à Constantine, Abdelhamid Ben Badis fait ses études à la Zitouna de Tunis. Prédicateur et formateur à la mosquée "Djamaâ Lakhdar" qu'il ouvre en 1911, il se rend en pèlerinage en 1914 à la Mecque. Il participe activement au mouvement de l'Islah musulman et publie dès 1925 Al Mountaqid, journal critique dans lequel il amorce un travail profond de prise de conscience nationale. Après l'interdiction de cet organe, il lance la même année "Achihab" (le météore) puis "El-Bassaïr" (visions d'avenir) où il contribue à faire renforcer dans les plus larges masses les concepts du nationalisme, de l'arabisme et de la fidélité a l'Islam, les trois piliers de la personnalité algérienne. Fondateur de l'Association des Oulémas d’Algérie, il participe au Congrès musulman d'Alger en juin 1936 et déploie une activité constamment entravée par l'administration coloniale. Il meurt en 1940, laissant derrière lui une œuvre politique et culturelle qui a nourri l'esprit de plusieurs générations d’Algériens de son fameux triptyque : "l’Algérie est notre patrie, l'Islam est notre religion, l'Arabe, est notre langue." Promoteur du savoir, il est le 16 avril de chaque année, honoré au cours de "Youm-El-Ilm" (Journée de la science.)
Cheikh Raymond 1912 - 22 juin 1961
Marcelle Devaud 7 janvier 1908 à Constantine
Après des études au lycée de Constantine, puis à la faculté de lettres de Grenoble, Marcelle Gougenheim épouse Stanislas Devaud, professeur agrégé de philosophie, élu député de Constantine en 1936. En 1940, le couple regagne la France, s’installe à Clermont-Ferrand, puis à Paris en 1943. Engagé dans la Résistance, il contribue, avec l’aide du Secours National, à soustraire aux recherches policières des évadés, des résistants, des israélites ou des réfractaires au STO. Sénatrice dès 1946 puis députée (de 1958 à 1962), maire de Colombes (1959-1965), membre de Conseil Economique et Social (1962-1979), représentante de la France à la commission de la femme aux Nations-Unies (1975-1983),
René Bianco 21 juin 1908 à Constantine Chanteur d'Opéra ; Baryton Il fait des études de chant avec madame Cholin. Il a débuté sa carrière de baryton au théâtre de Constantine qu'il dirigera plus tard pendant un an. Sur le continent africain il chante à Alger et à Oran ainsi qu'à Tunis. En 1948, il rentre à l'Opéra Comique à l'Opéra de Paris grâce à deux représentations auditions : les contes d'Hoffmann de Offenbach et Lohengrin de Wagner. Dès lors, il interprète les plus beaux rôles de baryton des opéras de Puccini, Verdi, Wagner, Charpentier, Bizet, Gounod, Rameau, Massenet... (plus de 80 oeuvres à son répertoire). Il a créé également, plusieurs oeuvres contemporaines. Après deux ans d'enseignement au conservatoire de Québec, il continue sa carrière de chanteur et de professeur de chant en France et en Europe jusqu'à ces dernières années. Il vit maintenant sa retraite dans sa maison familiale près de Lyon.
Jean Michel Atlan Né a Constantine (1913-1960) Peintre français L'un des précusseurs à Paris, vers 1944, des courants informels et gestuels, épris d'ésotérisme et de primitivisme. Il parvient vers 1953 vers des formes semi-abstraites puissament scandées de cercles noirs qui exaltent la couleur.
Maâmar Benzeggouta Né en 1924 à Constantine Chercheur Cet instituteur en retraite a publié en 1999 le premier tome d'une série de livres sur les trente siècles d'histoire de Constantine : "Cirta-Constantine de Massinissa à Ibn Badis".
Sa devise est : " Quand l'Historien rafraîchit les mémoires, quand il réveille les consciences, quand il apporte une certaine image du Passé, il fait l'Histoire. "
Malek Haddad 5 juillet 1927 - 2 juin 1978 Écrivain
Kateb Yacine 1929 - 1989 Écrivain
Cheikh El-Hadj-Mohamed Tahar El-Fergani 9 mai 1928
Simone Tamar ? - 1990 Chanteuse
Enrico Macias 11 décembre 1938
Taoufik Bestandji Musicien et professeur de Malouf
Najia Abeer Constantine, 16 septembre 1948 - Alger, 21 octobre 2005 Auteure littéraire et artistique Ancienne professeur d'anglais à Alger, elle a publié en 2003 son premier roman sur Constantine la ville de son enfance.
Auteure de : Constantine et les moineaux de la murette (2003) L'albatros (2004) [disponible sur Fnac.com] Bab El Kantara (2005)
"Lettre à Constantine", un très beau texte de mon amie Najia.
Paul Amar 11 janvier 1950 Journaliste et présentateur de télévision, romancier. Correspondant permanent pour France-Inter en Asie du Sud-Est puis aux Etats-Unis, avant de devenir éditorialiste puis chef du service politique à Antenne 2. Il a présenté le journal de 20 heures.
Auteur de : Scènes de la vie de province (2001) Œeil de verre (1994)
Hervé HANNOUN Né le 3 août 1950 à Constantine Inspecteur général des finances
Diplômé de l´Institut d´études politiques de Paris.
Elève à l´Ecole nationale d´administration (Ena) (promotion Léon Blum, 1973-75), à l´Inspection générale des finances (1975-79), Inspecteur des finances, Chargé de mission à la direction du Budget (1979-81), Chargé de mission puis Conseiller technique au cabinet du premier ministre (1981-84), Conseiller technique au secrétariat général de la présidence de la République puis Chargé de mission auprès du président de la république (1984-88), Sous-directeur au ministère de l´Economie, des Finances et du Budget, Directeur de cabinet (1989-92) de Pierre Bérégovoy (ministre d´Etat, ministre de l´Economie, des Finances et du Budget puis Premier Ministre), Second sous-gouverneur (1992-99), Premier sous-gouverneur (depuis 2000) de la Banque de France, Inspecteur général des finances, Président du comité des relations internationales du système européen des banques centrales, Membre du conseil de la politique monétaire, du conseil général de la Banque de France et du conseil d'administration de la Banque des règlements internationaux.
Benjamin Stora 2 décembre 1950 Historien, écrivain
Smaïn Fairouze 3 janvier 1958 à Constantine Acteur, Réalisateur, Producteur, Scénariste A sa naissance Smaïn a été abandonné et élevé dans un dispensaire pendant 2 ans. 1960, il est rapatrié en France par une femme juive de Constantine, et il est adopté par un couple d'origine algérienne.1971, son père adoptif meurt, Smaïn (14 ans) doit retourner à la DDASS. Dans les années 80, Smaïn débute dans les petits cabarets , puis est remarqué par Philippe Bouvard qui lui offre une place de choix dans son "Petit théâtre de Bouvard".
Extrait du journal Horizons du 30 décembre 2000 "Le célèbre comique français d’origine algérienne Smaïn a exprimé mercredi son immense joie de se retrouver en Algérie. Lors d’une conférence de presse animée mercredi à Alger, Smaïn a déclaré être très touché par l’accueil chaleureux que le public lui a réservé à Constantine, sa ville natale qu’il a quittée depuis 1960 tout en affirmant qu’il se sentait renaître."
Maaskri Moussa 15 novembre 1962 Comédien " Je suis né le 15 Novembre 1962 à Châteaudun du Rhumel. Ensuite nous sommes partis vivre avec ma mère à Constantine, au Bardo, jusqu'à l'âge de six ans. J'ai des souvenirs de glaces que l'on prenait à la Brèche et d'un vendeur de bakhlaouas dans la rue des arcades. Ensuite nous sommes venus en France (1969). A Marseille. J'ai rencontré le théâtre dans des circonstances assez longues à raconter. Je suis parti vivre en Arles où j'ai fait du théâtre occitan et provençal. Ainsi devenu jeune intermittent du spectacle. J'ai écrit un texte "Mina Nouvelles histoires Marseillaises" en collaboration avec M.H Bonnafé. M.Maréchal l'a vu et m'a engagé au Théâtre de la criée."
Malek Bensmaïl 1966 à Constantine Cinéaste Né en 1966 à Constantine, il réalise plusieurs essais en film super 8. Il participe régulièrement aux festivals de cinéma amateur et obtient un prix national. En 1988, il quitte Constantine pour Paris, afin d'y poursuivre des études de cinéma. Diplômé de l'Ecole Supérieur d'Etudes Cinématographiques, il effectue un stage dans les studios de Lenfilm à Saint-Petersbourg (studios Lenfilm). Après quelques stages et postes d'assistanats sur des fictions TV, il crée avec trois amis de sa promo une structure de production : "Télétranger". Cette structure produira pendant trois années des magazines et des documentaires notamment pour France 3 et Planète (de1990 à1993). Enseigne et encadre également des ateliers de formations. Malek Bensmaïl développe essentiellement des projets autour de la relation " Orient-Occident ", des rapports " Nord-Sud " et de la confrontation " Modernité-Tradition ".
Hassiba Boulmerka 10 juillet 1968 à Constantine Championne d'atlhétisme (1500 m) Championne d'Afrique : 800 m en 2'02"33 ; 1500 m en 4'08"33 Championne Olympique 1500 m en 1992 à Barcelone Championne du monde 1500 m en 1991 à Tokyo et en 1995 à Göteborg
Mohamed Lamine Bendjama Né à Constantine Artiste - Peintre - Infographiste (Vit et travaille à Paris) Études: 1982-86 École Nationale des Beaux-Arts Constantine, puis Alger 1994 Diplôme ENSAD spécialisation cinéma, animation, vidéo. 1995 Atelier d'Image Informatique. Expositions : 1985-1993 peintures, gravures, sérigraphies. 1984 : Théâtre de Constantine. 1985,1989,1990 : Galerie Issyakheim à Constantine. Filmographie: La goutte d'or (1992), Beur (1993), Milimo (1994), Life is life (1994), La danseuse et le perroquet (1995)
Ali Saïdi-Sief Né le 15 mars 1978 à Constantine Champion d'athlétisme
Spécialité: 5000m - 1500m Vice-champion Olympique et Médaille d'argent au Jeux Olympiques de Sidney (2000) sur 5000m.
Sandra Laoura Née le 21 juillet 1980 à Constantine Championne de Ski acrobatique (équipe de France)
Médaille de bronze en ski de bosses aux Jeux Olympiques de Turin (2006). Championne de France (2005).