Castelnaudary
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Castelnaudary | |
Pays | France |
---|---|
Région | Languedoc-Roussillon |
Département | Aude |
Arrondissement | Carcassonne |
Canton | chef-lieu de 2 cantons Castelnaudary-Nord Castelnaudary-Sud |
Code Insee | 11076 |
Code postal | 11400 |
Maire Mandat en cours |
Patrick Maugard 2008-2014 |
Intercommunalité | Communauté de communes de Castelnaudary et du Bassin lauraguais |
Latitude Longitude |
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Altitude | 145 m (mini) – 215 m (maxi) |
Superficie | 47,72 km² |
Population sans doubles comptes |
10,851 hab. (1999) |
Densité | 243 hab./km² |
Castelnaudary (en occitan Castèlnòu d'Arri) est une commune française, située dans le département de l'Aude et la région Languedoc-Roussillon. Castelnaudary se rattache à l'ancienne province du Lauragais, berceau du catharisme. La ville est connue pour son Cassoulet, dont elle est la capitale mondiale et pour son Grand Bassin, important port sur le Canal du Midi.
Ses habitants sont appelés les Chauriens.
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Localisation
Castelnaudary est situé dans le département de l'Aude entre Toulouse et Carcassonne en plein cœur du Lauragais dont elle était la capitale avant la création des départements en 1790. La commune est arrosée par le Fresquel, le Tréboul et le canal du Midi. La ville se trouve non loin du seuil de Naurouze, lieu de partage des eaux de la mer Méditerranée et de l'océan Atlantique. Elle se trouve dans la plaine du Lauragais avec au nord les contre-forts de la montagne Noire et au sud les collines de la Piège qui précèdent les contre-forts des Pyrénées. Castelnaudary est au cœur du sillon Lauragais dans sa partie la plus large (environ 8 km)[1]. À l'ouest, le sillon se prolonge vers Toulouse et se referme au niveau du seuil de Naurouze. À l'est, il se referme progressivement jusqu'à Carcassonne. C'est aussi la plus grosse commune du Lauragais avec 10 851 habitants et elle en est aujourd'hui la capitale après que Laurac détienne ce statut jusqu'au XIVe siècle.
La superficie de la commune est de 47 km², ce qui est une grande commune comparée aux nombreuses petites communes de l'Aude. Les communes limitrophes sont : Ricaud, Mas-Saintes-Puelles, Villeneuve-la-Comptal, Fendeille, Mireval-Lauragais, Saint-Martin-Lalande, Saint-Papoul, Issel, Peyrens, Souilhe et Souilhanels.
[modifier] Voies de communication et transport
Castelnaudary est situé sur l'axe principal entre Bordeaux et Narbonne. La commune est accessible par l'autoroute A61 sortie 21 et par la route nationale 113 reliant Toulouse à Narbonne. La route départementale 624 permet d'accéder au nord-ouest à Albi en passant par Revel puis par Castres. Au nord-ouest, la route départementale 103 rejoint Saissac puis Mazamet par la route départementale 118. Au sud, la route départementale 6 rejoint Mirepoix puis Foix par la route départementale 119 en Ariège. Enfin, la route départementale 623 permet d'accéder à Limoux dans le département de l'Aude. Le réseau routier autour de Castelnaudary est principalement concentré dans le sillon Lauragais avec l'autoroute A61 et la route nationale 113. Ces deux axes sont fortement empruntés pour des trajets domicile-travail. En effet, de nombreux habitants de Castelnaudary et de la région lauragaise travaillent sur Toulouse augmentant un flux domicile-travail entre Castelnaudary et Toulouse en pleine croissance[2]. Cet axe est aussi emprunté en période de vacances pour de longs trajets. Mais ce flux transite essentiellement par l'autoroute. Les axes secondaires vers le nord et le sud sont moins empruntés car ils mènent vers des régions rurales en déclin[2].
La gare de Castelnaudary reçoit les trains (TGV et TER) de la ligne Toulouse-Narbonne-Perpignan.
[modifier] Géologie
Castelnaudary se situe dans le sillon de la plaine du Lauragais, plaine très fertile. Le sol est constitué de molasse dit de Castelnaudary.
[modifier] Climat
La ville bénéficie d'un climat à tendance méditerranéenne marquée avec une influence océanique, notamment dans la répartition assez régulière des précipitations. La commune est assez venté avec un vent d'Autan régulier.
Ville | Ensoleillement (h/an) | Pluie (mm/an) | Neige (j/an) | Orage (j/an) | Brouillard (j/an) |
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Paris | 1 797 | 642 | 15 | 19 | 13 |
Nice | 2 694 | 767 | 1 | 31 | 1 |
Strasbourg | 1 637 | 610 | 30 | 29 | 65 |
Albi | 741 | 0 | |||
Moyenne nationale | 1 973 | 770 | 14 | 22 | 40 |
[modifier] Urbanisme
[modifier] Le logement
Castelnaudary comptait 5 044 logements en 1999. Les constructions neuves sont peu présentes puisqu'en 1999, seulement 5,7 % des résidences principales étaient postérieure à 1990. A contrario, les constructions antérieures à 1949 représentaient 38,1 % du parc.
88,5 % des logements sont des résidences principales, réparties à 66,3 % en maisons individuelles et à 33,7 % en appartements (respectivement 59,1 % et 40,9 % dans la région). La ville possède donc une majorité de logements individuels contrairement au reste de la région qui est plus équilibré[3]'[4]. 47,9 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 47,4 % qui ne sont que locataires (respectivement 56,8 % et 37,6 % dans la région)[5]'[6].
À noter qu’avec 596 logements HLM soit 13,3 % du parc en 1999 (10% dans la région), la ville ne respecte pas les dispositions de l’article 55 de la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU) de décembre 2000 fixant à 20 % le taux minimum de logements sociaux pour les communes les plus importantes. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants était assez important en 1999 avec 8,9 % du parc contre seulement 7,7 % dans la région[3].
La plupart des habitations possèdent 4 pièces (61,1 %), ou 3 pièces (21,7 %), puis 2 pièces (12 %). Les petits logements sont très peu nombreux (studios : 5,2 %). La ville possède par conséquent des logements de taille importante signe d'un territoire facile d'accès et permettant de réaliser de grandes constructions de type pavillonnaire. Enfin il faut préciser que ces logements sont bien dotés puisque 85,2 % ont le chauffage central et 55,1 % possèdent un garage, box ou parking (respectivement 76,5 % et 61,7 % pour la région)[3].
[modifier] Projets d'aménagement
[modifier] Héraldique
Blasonnement des armes traditionnelles de la ville de Castelnaudary :
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[modifier] Histoire
- 1103. Première mention officielle d'un règlement à Castelnaudary.
- 1211. Lors de la croisade des Albigeois, Simon IV de Montfort, chef des croisés, y est assiégé par les comtes de Toulouse et de Foix.
- Le 31 octobre 1355, en pleine Guerre de Cent Ans, la ville est mise à sac par les hordes du Prince Noir, qui, parties de Bordeaux, ravagent la Gascogne, puis le Lauragais, jusqu'à Narbonne, évitant soigneusement les places les mieux défendues. La ville est pillée, détruite et les habitants massacrés.
- C'est devant Castelnaudary qu'à lieu la rencontre décisive entre les troupes royaliste du maréchal de Schomberg et les troupes frondistes du Duc de Montmorency, gouverneur du Languedoc, le 1er septembre 1632. Le duc avait conspiré avec Marie de Médicis, mère de Louis XIII, et Gaston d'Orléans, frère du roi, contre le Cardinal de Richelieu. Capturé dès le début de la bataille, il est condamné à mort et décapité à Toulouse le 30 octobre 1632.
- 15 mai 1681. Commission du canal du Midi.
- 1754. Construction de L'Ile de la Cybèle.
[modifier] Administration
[modifier] Tendances politiques
Castelnaudary est une ville tantôt à gauche tantôt à droite, les électeurs ayant choisi un maire de gauche pour les élections municipales entre 1945 et 1971. Puis, entre 1971 et 1995, deux maires de droite se sont succédé. Depuis 1995, Patrick Maugard est le maire de Castelnaudary dont le parti politique est le parti socialiste.
À l’élection présidentielle de 2002, le premier tour a vu arriver en tête Jacques Chirac avec 22,06 %, suivi de Lionel Jospin avec 21,73 %, puis de Jean-Marie Le Pen avec 18,63 % et enfin François Bayrou avec 5,25 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %. Au second tour, les électeurs ont voté à 80,50 % pour Jacques Chirac contre 19,50 % pour Jean-Marie Le Pen avec un taux d’abstention de 18,61 %, résultat assez proche des tendances nationales (respectivement 82,21 % et 17,79 % ; abstention 20,29%) avec cependant deux points supplémentaires pour Jean-Marie Le Pen[7].
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les chauriens ont voté contre la Constitution Européenne, avec 55,67 % de Non contre 44,33 % de Oui avec un taux d’abstention de 29,32 % (France entière : Non à 54,67 % ; Oui à 45,33 %). Ces chiffres ne suivent pas la tendance départementale de l'Aude (Non à 64,62 % ; Oui à 35,38 %) démontrant le caractère plus privilégié des habitants, l'électorat ayant choisi le vote positif étant, selon les analystes politiques, le fait d'une population plus privilégiée économiquement et d'un plus haut niveau d'éducation que la moyenne des Français[8].
À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu se démarquer en tête Nicolas Sarkozy avec 31,86 %, suivi par Ségolène Royal avec 28,91 %, François Bayrou avec 14,84 %, Jean-Marie Le Pen avec 12,91 % et enfin Olivier Besancenot avec 3,20 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver en tête 52,74 % pour Nicolas Sarkozy (national : 53,06 %) contre Ségolène Royal avec 47,26 % (résultat national : 46,94 %)[9].
Le chiffre important de la droite à l'élection présidentielle n'a pas empêché Patrick Maugard, le maire socialiste sortant, d'être réélu au premier tour des élections municipales de 2008 avec un score approchant 67% des suffrages exprimés.
[modifier] Les maires
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
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juin 1995 | en cours | Patrick Maugard | PS | conseiller général |
7 novembre 1987 | juin 1995 | Bernard Embry | RPR | . |
14 mars 1971 | 29 octobre 1987 | Jean-Pierre Cassabel | RPR | |
26 juin 1970 | 14 mars 1971 | Paul Pech | PS | |
21 mars 1959 | juin 1970 | Jean Tuffery | SFIO | |
27 octobre 1947 | 9 mars 1959 | Gaston Garrouste | Parti Radical | |
17 mai 1945 | 27 octobre 1947 | Joseph Degrave | SFIO | |
août 1944 | mai 1945 | Jean Tuffery (Comité de la Libération) | SFIO | |
janvier 1944 | août 1944 | Paul Almayrac (délégation spéciale) | - | - |
18 juillet 1942 | janvier 1944 | Pierre Abet | - | - |
6 février 1941 | juillet 1942 | Jean Mistler | - | |
14 mai 1935 | janvier 1941 | Jean Mistler | Parti Radical(Parti républicain, radical et radical-socialiste) | ministre des PTT (1933), ministre du Commerce et de l'Industrie (1934) |
12 mars 1920 | 14 mai 1935 | Charles Georgin | - | - |
[modifier] Démographie
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Graphique d'évolution de la population 1794-1999
[modifier] Economie
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Carcassonne-Limoux-Castelnaudary qui gère la pépinère d'entreprises CréAude de Castelnaudary.
[modifier] Musique
- Union musicale Les Sans-Souci (créée en 1923)
En 1923, de jeunes musiciens bénévoles et amateurs, fils de familles aisées chauriennes, se regroupent et donnent pour nom à leur association "Sans-Souci", puisqu'ils n'ont aucun souci financier.
Aujourd'hui, l'Union musicale, qui vient de fêter ses 80 ans d'existence en 2003, continue de promouvoir la musique amateur, dans un esprit d'amitié et de partage autour de la musique. Elle se compose d'une soixantaine de musiciens, de tous les âges. La formation comprend un orchestre harmonie ainsi qu'une batterie fanfare. Son répertoire est donc très vaste et comprend des pièces classiques, contemporaines, militaires, de jazz, de variétés, ainsi que de la musique traditionnelle et de la musique de films. Les Sans-Souci se produisent également en défilés, au son d'airs de banda et de batterie-fanfare.
Le 1er juin 2008, lors du concours national de Bédarieux organisé par la Confédération Musicale de France, les Sans-Souci ont obtenu leur classement en deuxième division de première section.
L'orchestre donne des concerts dans la région, mais aussi à l'étranger : il possède ainsi à son actif des échanges culturels avec : la Suisse, l'Italie, l'Angleterre et plus récemment le Canada (2001-2002) et l'Espagne (2004-2005).
Les Sans-Souci sont actuellement placés sous la présidence de Georges Dupuy et la direction musicale d'Albert Todo. Emile Calisse, présent lors de la formation de la fanfare et président pendant 18 ans jusqu'à la fin 2006, occupe aujourd'hui le poste de vice-président.
L'orchestre reste étroitement lié à l'Ecole Municipale de Musique, dirigée par Bernard Grimaud, avec laquelle il partage ses locaux, et qui permet aux jeunes (et moins jeunes) élèves musiciens de le rejoindre rapidement. Il est également possible, pour tous les musiciens indépendants qui le souhaitent, de faire partie des Sans-Souci.
Ceux-ci possèdent leur propre hymne, intitulé "Hymne des Sans-Souci", sur une musique de l'ancien président Paul Vialette et des paroles d'Eugène Dauzat. Il est repris à la fin de chacun de leurs concerts.
[modifier] Monuments
- Le Grand Bassin
Sur la demande des habitants de la ville, Pierre-Paul Riquet, concepteur du Canal du Midi (alors Canal Royal du Languedoc), et François Andréossy, géomètre expert, ont fait de Castelnaudary le cœur technologique de cet ouvrage, par la construction du Grand Bassin. C'est la seule étendue d'eau de cette dimension (7 hectares) entre Toulouse et Sète. Le point de vue sur la ville est admirable : d'un côté les écluses Saint-Roch sont une illustration de l'art et de la technique de l'ouvrage ; de l'autre, l'Ile de la Cybèle conçue, en ce pays de vent, comme brise-lames. Imaginez ce Grand Bassin couvert de gabares chargeant le grain pour Sète et la Méditerranée, ou pour Toulouse, la Garonne et l'Atlantique ! Aujourd'hui sillonné par des bateaux de plaisance, il s'ouvre au tourisme international. Exemple d'une magnifique reconversion depuis son classement en 1997 à l'inventaire du patrimoine de l'humanité|, par l'UNESCO.
- La collégiale Saint-Michel
Située aux confins du nouveau Royaume de France depuis le Traité de Paris (1229), l’église, dont la construction s'étale de 1240 à 1270, est conçue comme un temple forteresse de style roman. Elevée au rang de collégiale en 1317 lors de la création de l’évêché de Saint-Papoul par le Pape Jean XXII pour limiter les prétentions de l’évêque de Toulouse, l'église est partiellement détruite lors du passage du Prince Noir en 1355. Le bâtiment est fortement remanié aux XIVe, XVe, XVIIIe et XIXe siècles, pour apparaître aujourd'hui comme un grand édifice de style gothique doté de neuf chapelles latérales et d’une imposante flèche pyramidale dont le sommet culmine à 50 mètres. Grandes orgues de la fin du XVIIIe.
- Le Présidial
En 1553, Catherine de Médicis, Comtesse du Lauragais par sa mère Madeleine, fît du comté une sénéchaussée et l'ancien château à l'origine de la ville devint un Présidial. Il sert de prison après la Révolution française et jusqu'en 1926. Il abrite aujourd'hui un musée.
- Le moulin de Cugarel (XVIIe siècle)
Castelnaudary est connu pour ses moulins à vent. Encore au début du XIXe siècle, de vingt à trente moulins ornaient les abords du Grand Bassin. Le moulin du Cugarel constitue un des derniers vestiges de cette époque glorieuse et offre une vue imprenable sur la ville et la plaine du Lauragais
Construite en 1783, pour les besoins de l’Hôpital, l’officine abrite une remarquable collection de pots de pharmacie en faïence de Moustiers (XVIIIe siècle) et en porcelaine de style Empire du XIXe siècle.
[modifier] Figures célèbres
- Marie-Thérèse de Soubiran (1834 - 1889), fonda la Congrégation des Sœurs de Marie Auxiliatrice qui essaima à Toulouse, Paris, Lyon, Bourges, et jusqu'en Angleterre.
- François Andréossy (1633 - 1688), Ingénieur du Canal du Midi
- Philippe de Rigaud de Vaudreuil (1643 - 1725), gouverneur de Montréal et de la Nouvelle-France.
- Antoine François Andréossy (1761-1828), général d'Empire.
- Pierre-François-Marie-Auguste Dejean (1749-1824), général, puis ministre de l'administration de la guerre sous Napoléon Ier, de 1802 à 1810.
- Alexandre Soumet (1788-1845), poète et académicien.
- Jacques-Marie-Joseph-Louis de Mas-Latrie, né à Castelnaudary le 9 Avril 1815, Paléographe et Membre de l'Institut
- François-Henry Laperrine (1860-1920), officier de l'armée d'Afrique
- Antoine Marfan (1858-1942), l'un des fondateurs de la pédiatrie en France.
- Georges Canguilhem (1904-1995), philosophe et épistémologue, membre de l'Académie française.
- Jean François Aimé Dejean général d'Empire
[modifier] Gastronomie
Le cassoulet est une spécialité de Castelnaudary. Il tiendrait son nom de la cassole en terre cuite émaillée fabriquée à Issel non loin de Castelnaudary. Castelnaudary est, avec Toulouse et Carcassonne, l'une des trois villes se disputant l'origine du Cassoulet.
[modifier] Cadre de vie
Castelnaudary a été récompensée par une fleur au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[11]
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
- Le 4e régiment étranger (4e RE), régiment d'instruction de la Légion Étrangère (570 hommes plus les stagiaires).
- Les jeans C17, nés à Castelnaudary en 1969. Fondateur : André Desseilles
- Les écluses du Canal du Midi.
- Une pâtisserie : l'Alléluia de Castelnaudary.
[modifier] Liens externes
- Site officiel
- Le Canal du Midi à Castelnaudary
- Castelnaudary sur le site de l'Institut géographique national
- Castelnaudary sur Viamichelin
[modifier] Notes et références
- ↑ [pdf] Eléments de valeur de la plaine du Lauragais p.18
- ↑ a b [pdf] Chartre du Pays Lauragais p.17
- ↑ a b c - Logements à Castelnaudary : le parc
- ↑ - Logements en Languedoc-Roussillon : le parc
- ↑ - Logements à Castelenaudary : les occupants
- ↑ - Logements en Languedoc-Roussillon : les occupants
- ↑ Scrutin présidentiel de 2002 - Castelnaudary, Ministère de l'intérieur. Consulté le 16/12/2007
- ↑ Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution Européenne - Castelnaudary, ministère de l'intérieur. Consulté le 16/12/2007
- ↑ Scrutin présidentiel de 2007 - Castelnaudary, Ministère de l'intérieur. Consulté le 16/12/2007
- ↑ Castelnaudary sur le site de l'Insee
- ↑ Source : Villes et Villages Fleuris